Quitter l’école primaire pour s’engager au collège. La première étape d’importance dans la scolarité des bambins qui peut parfois susciter doutes et questionnements. Et pour rassurer et accompagner les familles dans leur choix d’établissements, ces derniers organisent chaque année des journées portes ouvertes. Aujourd’hui, c’était au tour du collège-lycée St Paul d’accueillir parents et enfants afin de leur donner un avant-goût de rentrée. Tout au long de la matinée, les équipes pédagogiques ont fait découvrir les spécificités de l’établissement privée ajaccien.
« J’ai trouvé qu’il y avait un esprit de cohésion entre les membres de l’équipe pédagogique assure Catherine venue avec son neveu. La présentation de ce matin lui a beaucoup plu. Il a été très attiré par l’atelier de robotique. Je pense que son choix est fait . »
Atelier théâtre, handicap, voyages organisés, utilisation de tablettes numériques. Les intervenants pédagogiques se sont succédés pour présenter leurs projets. Mais la grande nouveauté de a rentrée 2020 sera la création de 4 sections. Bilingue, arts culture et Patrimoine, langues et cultures européennes ou encore sciences et démarches expérimentales. Dès la 6è, les élèves vont avoir à choisir une de ces orientations.
« Cette spécialisation s’inscrit aussi dans la toute récente réforme du lycée, explique la responsable pédagogique Marcelle Campinchi. Une nouvelle classification qui va nous permettre de mettre en adéquation le collège et le lycée. Le but est de préparer les élèves aux choix qu’ils auront à faire dès la seconde.»
Ces dernières semaines, la réforme du lycée et notamment les épreuves de contrôle continue (E3C) ont fait beaucoup de bruit. Mobilisation des élèves, grève de certains enseignants, l’éducation nationale traverse une période agitée. Pourtant, la réforme est votée et l’orientation semble belle et bien être devenue centrale.
« J’ai trouvé qu’il y avait un esprit de cohésion entre les membres de l’équipe pédagogique assure Catherine venue avec son neveu. La présentation de ce matin lui a beaucoup plu. Il a été très attiré par l’atelier de robotique. Je pense que son choix est fait . »
Atelier théâtre, handicap, voyages organisés, utilisation de tablettes numériques. Les intervenants pédagogiques se sont succédés pour présenter leurs projets. Mais la grande nouveauté de a rentrée 2020 sera la création de 4 sections. Bilingue, arts culture et Patrimoine, langues et cultures européennes ou encore sciences et démarches expérimentales. Dès la 6è, les élèves vont avoir à choisir une de ces orientations.
« Cette spécialisation s’inscrit aussi dans la toute récente réforme du lycée, explique la responsable pédagogique Marcelle Campinchi. Une nouvelle classification qui va nous permettre de mettre en adéquation le collège et le lycée. Le but est de préparer les élèves aux choix qu’ils auront à faire dès la seconde.»
Ces dernières semaines, la réforme du lycée et notamment les épreuves de contrôle continue (E3C) ont fait beaucoup de bruit. Mobilisation des élèves, grève de certains enseignants, l’éducation nationale traverse une période agitée. Pourtant, la réforme est votée et l’orientation semble belle et bien être devenue centrale.
Le harcèlement en ligne de mire
Mais ce matin, il a également été question de harcèlement. Un atelier dédié à cette problématique était déjà existant dans l’établissement. Les classes de collège disposent d’heures de prévention au cours desquelles les élèves peuvent discuter de ce sujet tabou qui gangrène aussi les écoles. Mais cette année, la volonté de l’établissement est d’arriver à libérer la parole. Grace à la mise en place d’un mail spécifique, les élèves pourront témoigner de ce qu’ils ont vu ou subi. Une manière de détecter et désamorcer les comportements dangereux. Mais surtout, la direction assure vouloir faire prendre conscience au harceleur qu’il est un harceleur et ainsi faire changer le comportement.
« On a pris l’habitude de sanctionner le harceleur mais ça ne suffit pas, assure François Grimaldi-d’Istria, adjoint au chef d’établissement. Il faut lui faire prendre conscience de ce qu’il a fait pour qu’il ne recommence pas. C’est pour cette raison qu’un suivi psychologique est obligatoire. Cela va permettre à l’enfant d’accepter le mal qu’il a fait et de ne plus avoir envie de recommencer. »
A l’heure ou le cyber harcèlement et ne cesse de se propager sur la toile, toutes les vigilances sont donc de mise.
« On a pris l’habitude de sanctionner le harceleur mais ça ne suffit pas, assure François Grimaldi-d’Istria, adjoint au chef d’établissement. Il faut lui faire prendre conscience de ce qu’il a fait pour qu’il ne recommence pas. C’est pour cette raison qu’un suivi psychologique est obligatoire. Cela va permettre à l’enfant d’accepter le mal qu’il a fait et de ne plus avoir envie de recommencer. »
A l’heure ou le cyber harcèlement et ne cesse de se propager sur la toile, toutes les vigilances sont donc de mise.
Envoyer à un ami
Version imprimable
